Dossier

Négociations

2017, UNE ANNÉE DE NÉGOCIATIONS À CONCLURE

L’année 2017 est cruciale pour les quelque 600 syndicats affiliés à la Confédération des syndicats nationaux (CSN) qui renouvellent leurs conventions collectives. Tant dans le secteur privé que dans le secteur parapublic, des dizaines de milliers de travailleuses et de travailleurs bénéficieront de l’appui de la CSN pour améliorer leurs conditions de travail et leurs salaires.

Négociations 20172017, une année de négociations à conclure Chu Anh Pham →
Chargés de cours de la FNEEQDe réelles avancées, mais encore du chemin à parcourir Richard Hink →
Industries LassondeUne négociation ciblée Renaud Poirier St-Pierre →
Bibby-Ste-CroixUn nouveau dans la famille CSN Chu Anh Pham →
Orica CanadaSe battre à l’interne dans une multinationale Chu Anh Pham →
Casinos du QuébecContre la précarité, pour la stabilité Renaud Poirier-St-Pierre →

Enjeux

Travailleurs migrants saisonniersUne forme d’exploitation « Made in Québec » Katerine Desgroseilliers →
En route vers le 65e CongrèsDébattre d’un plan d’action Chu Anh Pham →
65e anniversaire du Fonds de défense professionnelle de la CSNUn joyau à connaître Ariane Gagné →
Système de santé québécoisLe gros lot aux médecins Denis Guénette →
Avenir sans carboneÀ la recherche d’une transition juste Mathieu Murphy-Perron →
Réforme du Régime de rentes du QuébecMénager le portefeuille des employeurs au détriment des futurs retraités Katerine Desgroseilliers →
Revenu minimum garantiLa solution à tous nos problèmes ? Mathieu Murphy-Perron →

Mot du président

Mot du présidentLes dégâts de l’austérité Jacques Létourneau →

Nouvelles du front

Négociation du SAPSCQUne mobilisation exceptionnelle Renaud Poirier-St-Pierre →
ColloqueLe cadenassage ou comment sauver des vies François Forget →
Entente au Réseau de transport de la CapitaleQuand la mobilisation change la donne François Forget →
Lock-out chez Multi-MarquesAmbitionner sur le pain bénit Noémi Desrochers →
Enseignement supérieurDes états généraux, pourquoi ? Jean Murdock, Sylvain Marois →