Les activités entourant le 8 mars 2019 en région

À l’occasion du 8 mars 2019, des activités s’organisent partout au Québec. Prenez-en connaissance région par région et participez-y en grand nombre. Pour plus de renseignements, contactez le conseil central de la région où se déroule l’activité qui vous intéresse.


Cœur-du-Québec

Pour souligner la Journée internationale des droits des femmes, le comité en condition féminine du Conseil central du Cœur-du-Québec organise le 5 mars deux activités qui se succèdent dans ses locaux au 550 rue Saint-Georges à Trois-Rivières :

  • des éléments de formation sur la condition des femmes et sur l’analyse différenciée selon les sexes sont donnés de 13 h à 16 h 30 (le nombre de personnes inscrites est atteint);
  • un 5 à 7, repas offert, au cours duquel est invité le Projet Stérone, des humoristes féministes qui, à travers l’humour, dénoncent les travers de la société. Elles s’inspireront de la thématique de cette année « Le respect, ça se manifeste! » pour décliner sur différents sujets : préjugés sexistes, les différences corporelles et l’âge des femmes, contre l’intolérance, le racisme et la misogynie… Pour vous inscrire, il faut contacter sylvain.pratte@csn.qc.ca

Estrie

Pour souligner la Journée internationale des droits des femmes, le CCSNE, en collaboration avec le Syndicat du personnel enseignant du Cégep de Sherbrooke, accueille l’artiste française Typhaine D dans « Contes à rebours ». Dans cette oeuvre puissante entre théâtre et conte, Typhaine D revisite les contes de notre enfance autant que le langage pour les dire, et propose un imaginaire où nous retrouver, peuplé d’héroïnes enfin unies, réelles, inspirantes, debout, semant ainsi des graines de compréhension de nos vécus, de soin, d’espoir, de jubilation, de résistance collective. Un spectacle unique à ne pas manquer! En tournée exclusive au Québec!

Le mercredi 20 mars à 19 h
Salle Le Parvis (987, rue du Conseil, Sherbrooke)
Billets : Catherine.Ladouceur@csn.qc.ca ou 819 563-6515

Événement Facebook 


Lanaudière

Jeudi 28 février 2019 à 17 h, L’Élan Brasserie (136 rue Lajoie à Joliette)

C’est avec grand plaisir que le Conseil central de Lanaudière-CSN vous invite à continuer la tradition de célébrer ensemble la Journée internationale des droits des femmes. Le Conseil central de Lanaudière-CSN a invité, pour cette occasion, Mme Martine Delvaux, figure incontournable du féminisme contemporain et auteure de plusieurs romans dont, « Blanc dehors » finaliste en 2016 du prix du Gouverneur général.

À partir d’une réflexion autour du mouvement #MoiAussi et du partage de son expérience personnelle, il sera question de réfléchir à l’amitié et à la solidarité entre femmes, non seulement comme résultat des mouvements sociaux, mais comme effet de la « domination masculine ». Il s’agira de se demander si l’on peut vivre en tant que femme sans l’être avec les autres.

Le 8 mars, c’est l’occasion d’affirmer l’importance des luttes pour les droits des femmes, de saluer les combats menés en faveur de la reconnaissance sociale et politique et de poursuivre les batailles pour que nos droits cessent d’être bafoués partout sur la planète.

Le prix d’entrée 

Pour les membres et les salarié-es CSN : une épinglette du 8 mars 2019.
Pour les non-membres : 20 $

Veuillez noter que cette activité est offerte autant aux hommes qu’aux femmes et qu’il y aura des bouchées offertes ainsi qu’une consommation.

Inscription obligatoire avant le 15 février 2019 au 450 759-0762 (sans frais 1 888 759-0762) ou par courriel à reception.cclanaudiere@csn.qc.ca.

Au plaisir de vous y voir en grand nombre !


Laurentides

Cette année, c’est sous le thème « Le respect, ça se manifeste! » que le Conseil central des Laurentides – CSN invite tous ses membres et tous les groupes communautaires de la grande région des Laurentides à assister au souper conférence: « Aidante Naturelle, y’a rien de naturel là-dedans! »

Cette soirée se tiendra :

Quand : le 22 mars 2019 dès 18 h
: 685, rue Laviolette à St-Jérôme, J7Y 2V4 (Salles Laviolette)
Prix : 25 $ (coquetel de bienvenue et repas chaud 4 services)

C’est donc avec plaisir que nous vous attendons pour cette une superbe activité sous forme de souper-conférence avec Mme Chantal Fleury, conférencière et sa nouvelle conférence qui saura vous faire rire, réfléchir et vous divertir avec son humour attachant. C’est donc un rendez-vous!

Pour toute information ou pour l’achat des billets, veuillez contacter Chantal Racicot au Conseil central des Laurentides au 450 438-4197 ou par courriel chantal.racicot@csn.qc.ca.


Montérégie

Le Conseil central de la Montérégie organise le 28 mars un 5 à 7 autour du thème « Le respect, ça se manifeste » avec un panel d’invité-es :

  • Véronique de Sève, vice‐présidente de la CSN, responsable politique de la condition féminine
  • Emmanuelle Proulx, conseillère syndicale à la condition féminine à la CSN
  • Audrey Benoit, présidente du Syndicat des travailleuses et travailleurs de PJC Entrepôt—CSN
  • Jean‐Philippe Dell’Aniello, professeur de philosophie et membre du Syndicat des enseignantes et enseignants du Cegep de St‐Jean‐sur‐Richelieu (CSN)

Dans une ambiance décontractée, souper et cocktail seront offerts de 17 h à 18 h 40 et la soirée discussion débute dès 19 h. La soirée se déroule au 7900 Taschereau, Édifice E, à Brossard.

Réservez vos billets au prix de 5 $ auprès de Josée Fournier avant le 20 mars au 450 466‐7036 ou josee.fournier@csn.qc.ca.


Montréal métropolitain

CABARET FÉMINISTE FESTIF

Jeudi 7 mars, de 5 à 7, à l’atrium de la CSN (1601 De Lorimier, Montréal)

À l’animation, Judith Lussier, du duo Les Brutes

En prestations musicales :
Stella Adjokê slam-blues-soul-R&B
Kathia Rock guitare acoustique et tambour/folk-country-rock-jazz innu
Chœur Maha musique féministe inventive-approche non traditionnelle du chant choral

Exposition

Les affiches du 8 mars célébrés au Québec depuis 45 ans seront exposées et les femmes de la CSN présenteront leurs créations.


Québec–Chaudière–Appalaches

La Coalition régionale de Québec de la Marche mondiale des femmes lance l’invitation lors de la Journée internationale des droits des femmes à Québec le vendredi 8 mars pour les actions suivantes :

  • À 14 h: une chaîne de femmes devant le Palais de justice en solidarité et en appui aux victimes d’agressions sexuelles (activité non mixte)
  • 15 h 30: sur « Le respect, ça se manifeste, luttes des femmes », une causerie sur l’état actuel du système de justice dans le dossier des agressions sexuelles, contexte sociopolitique, pauvreté, travail, migration, femmes autochtones (activité non mixte)
  • 16 h 30 : Chansons et slogans féministes
  • 17 h : Rassemblement pour une marche de solidarité féministe devant la Bibliothèque Gabrielle Roy
  • 17 h 30 : Départ de la marche

Le réseau des groupes de femmes de Chaudière-Appalaches organise le 15 mars 2019 au Club de golf de Lotbinière toute une journée d’activités débutant à 9 h.

  • Une conférence de Véronique Pronovost sur l’antiféminisme: ses recherches portent sur la redéfinition et l’institutionnalisation du mouvement conservateur américain ainsi que sur les effets antiféministes du conservatisme contemporain.
  • Suivi d’une présentation de l’état des lieux du Réseau sur la pauvreté des femmes
  • Et pour terminer, une conférence de l’organisme Le Néo par Valérie Boyer, sexologue, sur l’inclusion des femmes trans dans les milieux exclusifs aux femmes.

Pour informations sur le prix d’admission et la réservation, contacter avant le 9 mars 2019 à communications@femmesca.com


Saguenay–Lac-Saint-Jean

Le Collectif 8 mars de Saguenay vous invite à un souper-spectacle « Quand les femmes s’en mêlent! », le mardi 12 mars à compter de 17 heures, à l’Hôtel le Montagnais de Chicoutimi (1080, boulevard Talbot, Chicoutimi). Les billets sont au coût de 15 $ (souper inclus) et sont disponibles à votre Conseil central jusqu’au 7 mars 2019.

Le Collectif du 8 mars d’Alma au Lac-Saint-Jean convie la population à un souper-conférence sur La place des femmes en politique et soirée dansante avec le duo musical « Miss Caprice », le vendredi 8 mars à compter de 17 heures à l’hôtel des Cascades (140 Avenue du Pont N, Alma).  Les billets sont en vente au Centre de femmes aux Quatre Temps (418 668-7698) ainsi qu’au Conseil central au coût de 25 $.

La CSN interpelle la Fédération des caisses

Lors d’une manifestation tenue à Montréal devant le Complexe Desjardins, la Confédération des syndicats nationaux (CSN) a interpellé la Fédération des caisses Desjardins du Québec afin qu’elle intervienne dans le processus de négociation de ses caisses membres du Mouvement Desjardins.

« Actuellement, nous avons deux syndicats qui vivent des négociations difficiles : à la Caisse Desjardins de Rouyn-Noranda et à la Caisse populaire Desjardins de Hauterive, à Baie-Comeau. Les deux syndicats ont dû se doter de mandats de grève qu’ils ont exercés afin de contrer les demandes de reculs provenant de la Fédération des caisses Desjardins. Or, ces demandes de reculs risquent d’avoir un impact sur l’ensemble des salarié-es que nous représentons. Aujourd’hui donc, nous interpelons la Fédération des Caisses Desjardins afin qu’elle facilite l’obtention de règlements satisfaisants », souligne Jacques Létourneau, président de la CSN.

« Les dispositions relatives à l’évaluation de notre rendement constituent un des points importants qui achoppe à la table de négociation. Dans ce processus, l’employeur se retrouve à être juge et partie et les augmentations salariales sont généralement déterminées de manière complètement arbitraire, à la totale discrétion du gestionnaire. La position salariale finale aux tables de négociation est commandée par la Fédération des caisses et impose un appauvrissement à nos membres dans un contexte économique favorable où la rentabilité de l’employeur n’est pas un enjeu. Depuis le mois de janvier, les reculs incluent même la fin du régime d’assurance collective pour les retraité-es », précise Isabelle Frelas, présidente du Syndicat des travailleuses et des travailleurs de la Caisse populaire de Rouyn-Noranda–CSN (STTCPRN).

« Généralement, les conflits de travail sont rares dans le secteur de la finance. Dans un des deux conflits actuels, celui de la Caisse Desjardins de Rouyn-Noranda, nous en sommes à notre seconde plainte contre l’employeur qui multiplie les manœuvres illégales envers le syndicat et ses salarié-es. Le 5 février dernier, l’employeur a été condamné par le Tribunal administratif du travail (TAT). Ce dernier a statué que l’employeur avait fait preuve d’ingérence dans les affaires du syndicat, de mauvaise foi et d’intimidation par courriel envers les membres du STTCPRN », ajoute David Bergeron-Cyr, président de la Fédération du commerce–CSN.

« Nous aurions aimé que la Fédération des caisses se comporte selon ses valeurs plutôt que celles d’une institution financière privée qui n’en a que pour ses actionnaires. Le modèle coopératif des Caisses Desjardins devrait insuffler une toute autre dynamique dans les relations de travail avec ses salarié-es qui sont également les membres de ce mouvement. Nous souhaitons vivement que la Fédération des caisses entende notre message aujourd’hui », de conclure Dominique Daigneault, présidente du Conseil central du Montréal métropolitain (CCMM–CSN).

Le Syndicat des travailleuses et des travailleurs de la Caisse populaire de Rouyn-Noranda–CSN compte 70 membres affiliés à la Fédération du commerce (FC–CSN) qui rassemble quelque 28 000 membres regroupés dans plus de 350 syndicats présents dans les secteurs du commerce de détail, de gros et de services divers, de l’agroalimentaire, des finances et du tourisme. Le Conseil central du Montréal métropolitain (CCMM–CSN) regroupe plus de 100 000 membres des secteurs public et privé, répartis au sein de près de 400 syndicats à Montréal, à Laval et dans le Grand Nord du Québec.

Entente à la Société de transport de Montréal (STM)

À la suite d’une recommandation du médiateur, une entente est intervenue entre le Syndicat du transport de Montréal (STM–CSN) et la STM.

La recommandation du médiateur est survenue vers 5 h ce matin après d’intenses négociations durant la semaine.

Le syndicat s’engage à soumettre la recommandation du médiateur à ses membres lors d’une assemblée générale dont le moment sera à déterminer.

Aucun commentaire ne sera émis avant la tenue de cette assemblée générale.

À propos du syndicat et de la CSN
Le Syndicat du transport de Montréal (STM–CSN) représente 2400 salarié-es à la Société de transport de Montréal. Il est affilié à la Fédération des employées et employés de services publics (FEESP–CSN) qui regroupe plus de 60 000 syndiqué-es œuvrant dans le domaine des services publics et parapublics. Pour sa part, la Confédération des syndicats nationaux compte plus de 325 000 membres présents dans tous les secteurs d’activité, tant publics que privés.

 

 

La SQDC de Montréal – Sainte-Catherine Ouest se joint à la CSN

Le Syndicat des employées et employés de la Société québécoise du cannabis – CSN est désormais accrédité pour représenter les salarié-es de la succursale de Montréal–Sainte-Catherine Ouest de la Société québécoise du cannabis. Le Tribunal administratif du travail (TAT) a rendu la décision hier, en après-midi.

« Après Mascouche et Trois-Rivières, c’est la troisième succursale qui a choisi de se joindre à la CSN, un choix qui va permettre à l’ensemble des travailleuses et des travailleurs de la SQDC de compter sur le savoir-faire de notre syndicat pour faire progresser leurs conditions de travail, a réagi Katia Lelièvre, présidente du syndicat. Le SEMB–SAQ a fait plusieurs gains pour ses membres lors de la dernière négociation, et nous nous assurerons que les travailleuses et travailleurs bénéficient de notre soutien dans l’adoption de leur première convention collective », a-t-elle renchéri.

« Nous sommes déjà à l’œuvre afin de permettre aux nouveaux membres d’entreprendre la négociation d’une première convention collective : des assemblées générales ont déjà eu lieu dans les succursales de Mascouche et de Trois-Rivières », explique Nathalie Arguin, présidente de la Fédération des employées et employés de services publics (FEESP–CSN) à laquelle le syndicat sera affilié.

Bonne nouvelle pour les membres de la section Thermover

Le dimanche 17 février, les membres de la section Thermover (nouvellement affiliée au Syndicat des travailleuses et travailleurs des industries manufacturières – CSN) ont entériné à 100 % l’entente de principe présentée en assemblée générale.

Parmi les nombreux gains notables, on mentionne :

  • Un REER collectif Bâtirente avec contribution de l’employeur;
  • L’ajout de jours fériés et payés;
  • Une augmentation salariale de 2,95 % en 2019 et de 2 % en 2020;
  • L’ajout de primes pour les quarts de soir et de nuit;
  • Une augmentation de la masse salariale de plus de 6 %;
  • Des mouvements de main-d’oeuvre conventionnés où l’on donne priorité à l’ancienneté;
  • Bonification des autres conditions de travail.

Il s’agit d’une excellente première convention collective pour ces membres. Le tout a été possible grâce à l’implication des membres, à l’appui de la Fédération de l’industrie manufacturière et surtout, à la force du mouvement CSN – une force incontournable dans l’industrie manufacturière.

La Fédération de l’industrie manufacturière (FIM–CSN) lutte pour améliorer les conditions de travail et de vie de ses membres et pour développer des emplois de qualité. Elle est très active sur le plan de la prévention en santé et sécurité du travail et de la formation.

Elle rassemble plus de 25 000 travailleuses et travailleurs réunis au sein de quelque 320 syndicats et provenant de toutes les régions du Québec. La FIM–CSN est bien outillée pour représenter l’ensemble de ses secteurs d’activités.

«Normal», le racisme au travail ?!

Est-il normal de se pointer au travail et être victime, à répétition, de quolibets racistes ? « Quolibets » n’est certainement pas le bon terme lorsque ces railleries dégradantes vous entraînent chez le médecin et que celui-ci vous diagnostique un problème de santé psychologique et vous met en arrêt de travail.

C’est malheureusement ce qui est arrivé à Amadou Gaye.

D’origine sénégalaise, ce travailleur du domaine des archives croyait avoir trouvé le paradis en immigrant au Québec. Le stress post-traumatique diagnostiqué par son médecin n’en faisait certainement pas partie.

Le Point syndical vous épargnera la description des actes dont il a été la cible au travail. Des comportements qui n’ont pas plus leur place en milieu de travail que dans les pages de ce journal.

À coups d’insultes et de harcèlement de la part d’un collègue de travail, l’état de santé d’Amadou Gaye s’est rapidement détérioré.

Je me sentais humilié, insulté, dénigré, raconte-t-il. Je voulais porter plainte contre lui, mais il me disait que je n’en avais pas le droit, qu’on était “au Québec ici”, que ce serait ma parole contre la sienne. Et puis, le sabotage de mon travail a commencé. Je me sentais seul, je ne me sentais plus moi-même, je me sentais traqué. Je ne voulais pas montrer ma faiblesse devant les gens, alors je me réfugiais seul dans un coin. Je ne voulais pas montrer ma honte. »

Son médecin l’a mis en arrêt de travail. Au bout de quelque temps, menacé de la perte de son revenu, M. Gaye a plaidé sa cause devant la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST), avec l’appui de son syndicat et du service de défense des accidenté-es de la CSN. Son médecin était clair : les symptômes dont il souffrait étaient directement causés par le harcèlement psychologique qu’il subissait au travail.

La CNESST n’a toutefois pas jugé pertinent d’y voir une lésion professionnelle au sens de la Loi sur les accidents du travail et les maladies professionnelles. Pour la commission, ses problèmes de santé psychologique ne relevaient que de simples « relations interpersonnelles » qui ne sortaient pas « du cadre normal du travail. »

Amadou Gaye n’entendait pas en rester là. C’est pourquoi il a fait appel de la décision de la CNESST devant le Tribunal administratif du travail.

Dans une rare décision, la juge Annie Beaudin a statué que le racisme à répétition envers M. Gaye constituait réellement un accident de travail ayant causé une lésion professionnelle. Pour la juge, aucune autre cause possible que le harcèlement en milieu de travail ne peut expliquer le stress post-traumatique constaté par le médecin. Les problèmes de santé psychologique de M. Gaye sont donc d’origine professionnelle.

« Ces comportements possèdent objectivement un caractère traumatisant pour une personne raisonnable et non seulement dans la perception du travailleur. Ces comportements sont inacceptables, n’ont pas leur place dans un milieu de travail et il est indéniable qu’ils débordent le cadre normal de travail. […] non seulement la quiétude du travailleur a été perturbée, mais également sa santé psychologique et sa dignité ont été atteintes », écrit la juge administrative en statuant que M. Gaye a effectivement subi une lésion professionnelle, renversant ainsi la décision de la CNESST.

Lors d’une rencontre avec M. Gaye, le président de la CSN, Jacques Létourneau, lui a témoigné de son respect devant la ténacité dont il a fait preuve. « Je tenais d’abord et avant tout à lui réaffirmer que la CSN est et sera de tous les combats pour contrer toute forme de violence psychologique, de racisme et d’intimidation, des actes qui n’ont ni leur place en milieu de travail ni au sein de la société québécoise. Mais aussi pour le remercier d’avoir mené cette lutte difficile. Quand des gens comme Amadou osent dénoncer les actes répréhensibles dont ils sont l’objet et quand ils font preuve d’une telle détermination, c’est une fierté pour la CSN que de les appuyer jusqu’au bout de leur démarche. »

Toujours en arrêt de travail, Amadou Gaye essaye tranquillement de se refaire une santé. « Quand je lui ai raconté ce que j’avais traversé, mon compère Boucar Diouf m’a rappelé ce proverbe de nos grands-pères : “celui qui n’a entendu que le rugissement du lion n’a pas la même manière de fuir que celui qui l’a vu.” C’est pour dire que je peux vous raconter mon histoire, vous pouvez la comprendre, mais vous ne sentirez jamais au plus profond de vous-même l’horreur telle que je l’ai vécue. »


Ce que dit la loi

L’article 2 de la Loi sur les accidents du travail et les maladies professionnelles stipule qu’un accident de travail constitue un événement :

  • Imprévu et soudain, attribuable à toute cause
  • Qui survient par le fait ou à l’occasion du travail
  • Qui entraîne une lésion professionnelle

Sainte-Justine récupère ses laboratoires

La récente décision du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) de créer un service de laboratoire indépendant au CHU Sainte-Justine et de protéger ainsi sa mission essentielle pour tous les enfants du Québec clôt la bataille pour conserver l’autonomie du centre hospitalier.

« Cette décision est l’achèvement de la lutte menée avec les médecins pour le retour à l’autonomie pour le CHU avec la campagne Aimer.Défendre en 2017-2018. Notre priorité est maintenant d’assurer une transition la plus humaine possible », a commenté Évelyne Crépeau, présidente du Syndicat des techniciennes et techniciens et professionnel-les de la santé et des services sociaux du Québec (STEPSQ–FP–CSN).

La réforme Barrette avait concentré tous les services de laboratoire du Québec sous un même chapeau, Optilab, ce qui faisait craindre une perte d’expertise des spécialistes de Sainte-Justine. Même si des employé-es de laboratoire étaient toujours présents à Sainte-Justine, la centralisation de la direction au CHUM rendait incertaine la défense de la spécificité du laboratoire du seul établissement de santé dédié exclusivement aux enfants, aux adolescents et aux mères du Québec. Toutes les décisions étaient prises à distance, au CHUM, et cela pouvait retarder les travaux dans un contexte où les échantillons prélevés auprès des patients enfants ont une durée de vie limitée.

La présidente du STEPSQ–FP–CSN fait remarquer que les employé-es (un peu moins de 300 personnes) vont de nouveau changer d’employeur et d’accréditation syndicale sans que ce soit volontaire. « S’ils ont choisi Sainte-Justine, ce n’était pas par hasard », souligne cependant Évelyne Crépeau, qui pense que plusieurs des employé-es seront heureux de revenir au bercail après les délais d’usage dans ce genre de circonstances. Le retour du syndicat dans le giron de Sainte-Justine devrait par ailleurs aider à diminuer le taux de roulement des techniciennes et techniciens, ce qui occasionnait une perte d’expertise pour les analyses pédiatriques.

Solidarité de tous les syndicats
« Il était normal de récupérer les laboratoires pour des services directs aux enfants. Avoir cette spécialité à l’interne avec la mentalité propre à Sainte-Justine est logique et bénéfique pour tous les usagers », affirme Simon Bouclin, président du Syndicat national des employé-es du CHU Sainte-Justine (SNE CHU Sainte-Justine–FSSS–CSN). Ce dernier représente tous les employé-es des laboratoires qui ne sont pas techniciens ou professionnels.

« Voici une grande victoire pour tous les enfants du Québec. Nous avons été heureux d’apprendre que le gouvernement reconnaissait enfin l’importance de préserver la mission pédiatrique que Sainte-Justine s’est bâtie depuis plus de 100 ans en lui redonnant la pleine gouvernance de ses laboratoires. N’oublions pas que le CHU Sainte-Justine, seul centre pédiatrique autonome du Québec, est le plus important centre mère-enfant au Canada et qu’il fait partie des meilleurs hôpitaux pédiatriques au Canada, et même à l’échelle internationale », a commenté Sophie Leclair, présidente du Syndicat des professionnel-les en soins infirmiers et cardiorespiratoires du CHU Sainte-Justine (SPSIC CHU Sainte-Justine–FSSS–CSN). Même si les membres de ce dernier syndicat ne travaillent pas dans les laboratoires, ils ont été pleinement solidaires pour défendre l’autonomie la plus complète du CHU Sainte-Justine. >

Vision dépassée de Barrette
« La grande vision de Gaétan Barrette de tout fusionner et de faire des gains avec ça, on a démontré que ça ne fonctionne pas, insiste Évelyne Crépeau. Tant les syndicats que les médecins de Sainte-Justine ont insisté pour dire que c’était une erreur de centraliser les laboratoires et voilà qu’ils obtiennent en partie gain de cause. »

Optilab demeure cependant en place et continue de centraliser l’administration de plusieurs autres laboratoires.

Grève générale illimitée à l’Université TÉLUQ

Le 25 janvier dernier, le Syndicat des tuteurs et tutrices de la Télé-université–CSN (STTTU) n’a eu d’autre choix que de mettre à exécution son mandat de grève générale et illimitée. Après 17 mois de négociation en présence de conciliateurs du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, et après que les représentants syndicaux aient déposé plusieurs compromis pour parvenir à une entente acceptable, la partie patronale est revenue à la table de négociation avec de nouvelles exigences et le retrait de propositions qu’elle avait pourtant annoncées. En agissant ainsi, l’Université TÉLUQ laisse toujours planer le doute sur la mise à pied de ces enseignantes et enseignants expérimentés. C’est près de 20 000 étudiantes et étudiants qui se retrouvent dans l’impossibilité de terminer leur trimestre.

Pour la FSSS–CSN, il faut un déblocage de la négociation

En négociation depuis presque trois ans, le Syndicat des travailleuses et travailleurs de la Clinique communautaire de Pointe-St-Charles (CSN) prend les moyens nécessaires pour que la situation débloque. Les travailleuses et travailleurs se sont dotés d’un mandat de grève pour parvenir à améliorer leurs conditions de travail et régler cette négociation qui traîne en longueur.

En pleine pénurie de personnel qui frappe de plein fouet l’ensemble des employeurs du Québec, la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS–CSN) déplore l’entêtement de l’employeur dans cette négociation. La convention collective est échue depuis le 31 mars 2016. Après des mois de négociation, le seul élément qui reste à régler concerne les augmentations salariales pour les années 2016 à 2018. La demande des travailleuses et travailleurs est d’avoir les mêmes augmentations que celles accordées au secteur public.

Si les négociations ne reprennent pas rapidement, ce serait une première grève dans l’histoire de 50 ans d’existence de la clinique. La situation est très préoccupante d’autant plus que la présidente du conseil d’administration, selon des propos tenus par l’employeur à la table de négociation, juge qu’elle ne doit pas déranger le CA pour l’informer des derniers développements de la négociation. Espérons que le CA qui se réunira le 18 février prochain se penchera sur le sujet et donnera les mandats nécessaires pour que la négociation débloque.

« La Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles est une institution importante dans l’histoire du réseau de la santé et des services sociaux au Québec. Elle est la mère des CLSC. Les gens qui y travaillent le font pour servir la population. La moindre des choses, c’est qu’ils soient reconnus pour leur travail. Souhaitons que l’employeur entende raison rapidement et que la négociation avance », lance Lucie Longchamps, vice-présidente de la FSSS–CSN.

Entente de principe pour les avocates et avocats de l’aide juridique

Hier, le comité de négociation des syndicats représentant l’ensemble des avocates et avocats de l’aide juridique a conclu une entente de principe pour renouveler les conventions collectives.

Cette entente de principe sera soumise au vote des avocates et avocats, lors d’assemblées générales qui se tiendront du 25 au 28 février. Les représentantes et représentants syndicaux ne feront pas de commentaires sur le contenu de cette entente d’ici la tenue de ces assemblées. Les conventions collectives étaient échues depuis le 31 mars 2015.

À propos
La FP-CSN et la FAAJQ représentent la totalité des avocates et avocats travaillant pour la Commission des services juridiques. La FP-CSN regroupe plus de 8000 techniciennes, techniciens et professionnel-les de différents secteurs. Elle est une des huit fédérations professionnelles composant la Confédération des syndicats nationaux (CSN) forte de 300 000 membres.

Syndicat des travailleuses et des travailleurs de la Great-West–CSN

Le Syndicat des travailleuses et des travailleurs de la Great-West–CSN a été accrédité, le 15 janvier 2019, pour représenter :

« Toutes et tous les salarié-es des services centralisés soutenant les Bureaux de gestion de l’assurance invalidité (BGAI). »

Ces salarié-es ont majoritairement choisi de joindre les rangs de la CSN afin de contrer l’arbitraire de l’employeur et pour se faire respecter.

Ce nouveau syndicat sera affilié à la Fédération du commerce, au Conseil central du Montréal métropolitain et bien entendu, à la Confédération des syndicats nationaux.

L’entente de principe acceptée à 94,7 % par le STIP

Hier après-midi en assemblée générale, les membres du Syndicat des travailleurs de l’information de La Presse (STIP–FNC–CSN) ont adopté à 94,7 % par voie de scrutin secret l’entente de principe intervenue avec leur employeur le 20 décembre dernier.

« Étant donné la situation financière difficile de La Presse, nous avons fait preuve de créativité afin d’arriver à cette entente, de déclarer Laura-Julie Perreault, présidente du STIP. En ce sens, les travailleuses et les travailleurs de La Presse ont à nouveau fait leur part en acceptant un contrat de travail incluant un gel salarial durant cinq des six années de celui-ci et une augmentation de 1 % en 2020. Nous avons convenu de la mise en place d’un régime de retraite à prestations cibles pour tous les employé-es, dès que possible. Cela représente des coupes d’un million de dollars récurrentes annuellement dans nos conditions de travail ».

Sans contrat de travail depuis janvier 2016, les salarié-es du STIP n’avaient qu’une seule demande, soit le maintien de leurs conditions de travail. Les pourparlers des dernières années ont porté notamment sur la sécurité d’emploi, les salaires et la transparence financière de l’entreprise.

Le STIP regroupe environ 195 employé-es de la rédaction.

La FNC–CSN regroupe des syndicats autonomes de salarié-es ainsi que des travailleuses et des travailleurs contractuels de l’industrie des communications et de la culture. Ce regroupement permet aux quelque 6000 membres regroupés dans 88 syndicats de se donner des outils pour assurer leur représentation et pour négocier des ententes collectives de travail qui assurent le respect de leurs droits et de leur indépendance journalistique. Dans une perspective du droit public à l’information, la fédération défend également les libertés de presse et d’expression.

La CSN se réjouit que le CHU Sainte-Justine récupère la gestion de ses laboratoires

La CSN salue la décision du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) de redonner la gestion de son service de laboratoire au CHU Sainte-Justine et d’ainsi protéger sa mission essentielle pour tous les enfants du Québec.

La réforme Barrette avait concentré tous les services de laboratoire du Québec sous un même chapeau, OPTILAB, ce qui faisait craindre une perte d’expertise des spécialistes de Sainte-Justine. Même si des employé-es de laboratoire étaient toujours présents à Sainte-Justine, la centralisation de sa direction au CHUM rendait incertaine la défense de la spécificité du laboratoire du seul établissement de santé dédié exclusivement aux enfants, aux adolescents et aux mères du Québec.

« Cette décision est l’achèvement de la lutte menée avec les médecins pour le retour à l’autonomie pour le CHU, notamment avec la campagne “Aimer.Défendre” en 2017-2018. Notre priorité est maintenant d’assurer une transition la plus humaine possible », a commenté Évelyne Crépeau, présidente du Syndicat des techniciens et professionnels de la santé et services sociaux du Québec (STEPSQ-FP–CSN).

« Il était normal de récupérer les laboratoires pour des services directs aux enfants. Avoir cette spécialité à l’interne avec la mentalité propre de Sainte-Justine est logique et bénéfique pour tous les usagers », a déclaré Simon Bouclin, président du Syndicat national des employé-es du CHU Sainte-Justine (SNE CHU Sainte-Justine–FSSS–CSN).

« C’est une grande victoire pour tous les enfants du Québec », a finalement lancé Sophie Leclair, présidente du Syndicat des professionnelles en soins infirmiers et cardiorespiratoires du CHU Sainte-Justine (SPSIC CHU Sainte-Justine–FSSS–CSN).

 

La CSN déplore la fermeture d’une usine de l’entreprise Vélan

La CSN déplore la fermeture de l’une des usines montréalaises de l’entreprise québécoise Vélan, leader mondial en matière de robinetterie industrielle, et la délocalisation d’une partie de ses opérations en Inde.

La restructuration annoncée par la compagnie se traduira par la perte nette de 128 emplois au Québec et le transfert d’importantes composantes de ses machineries vers l’Asie.

« Malheureusement, l’année 2019 débute sur les mêmes mauvaises nouvelles que la fin de l’année 2018 en matière d’emplois de qualité au Québec, de déclarer Jacques Létourneau, président de la CSN. Encore une fois, certains gestionnaires semblent avoir plus à cœur de contenter le portefeuille des actionnaires plutôt que de favoriser l’essor économique du Québec. »

Pour la CSN, les résultats financiers publiés par la société Vélan ne justifient en rien la fermeture de l’une des trois usines québécoises. « Vélan constate, pour l’ensemble de ses usines à travers le monde, une amélioration sur le plan de la productivité au cours de la dernière année, et ce, malgré une baisse des activités de ses usines en Italie et en France, indique Jacques Létourneau. Nous sommes pour le moins perplexes de voir que ce sont les opérations au Québec qui écopent de cette restructuration. »

Le président de la CSN réitère son appel au premier ministre du Québec, François Legault, afin que la question de l’emploi au Québec figure parmi les priorités du nouveau gouvernement. « Nous ne pouvons accepter de voir des fleurons de l’économie québécoise quitter notre territoire. Nous ne pouvons nous résoudre à cautionner la fuite de nos emplois au gré des marchés boursiers. Encore une fois, nous demandons au premier ministre de bien vouloir convoquer les organisations patronales et syndicales afin que nous puissions soulever correctement la nécessité de responsabiliser les entreprises installées au Québec sur les enjeux de l’emploi, du développement économique et de l’essor du Québec », de conclure le président de la CSN.

Présente tant dans les secteurs public que privé, la CSN regroupe 300 000 travailleuses et travailleurs, et ce, dans l’ensemble des régions du Québec.

Syndicat des professeurs du collège d’enseignement général et professionnel de Saint-Laurent – section animatrices, animateurs et agent-es d’intégration (FNEEQ–CSN)

Le Syndicat des professeurs du collège d’enseignement général et professionnel de Saint-Laurent a été accrédité le 12 décembre 2018 pour représenter :

« Tous et toutes les salarié-es travaillant aux activités de francisation de la direction de la formation continue comme animateurs, animatrices et agent-es d’intégration »

Les animateurs, animatrices et agent-es d’intégration oeuvrant au programme de francisation financé par le gouvernement ont choisi de rejoindre la CSN devant l’incertitude liée à la mouvance des budgets et à leur précarité d’emploi (travailleurs et travailleuses à contrat). Joindre les rangs de la CSN leur permet d’unir leur voix afin de collectivement faire face à leur employeur.

Cette nouvelle section de 14 salarié-es est affiliée à la Fédération nationale des enseignantes et enseignants du Québec, au Conseil central du Montréal métropolitain et bien entendu, à la Confédération des syndicats nationaux.

Syndicat des responsables de service de garde en milieu familial des Maisons Enjouées–CSN

Le Syndicat des responsables de service de garde en milieu familial des Maisons Enjouées–CSN a été reconnu le 17 décembre pour représenter :

« Toutes les personnes responsables d’un service de garde en milieu familial sur le territoire couvert par le bureau coordonnateur du CPE Les Maisons Enjouées. »

À la suite de la période de maraudage, les responsables en service de garde de ce Bureau Coordonnateur ont majoritairement fait le choix de quitter l’Alliance des intervenantes en milieu familial de Montréal (CSQ) pour joindre la CSN.

Ce nouveau syndicat sera affilié à la Fédération de la santé et des services sociaux, au Conseil central du Montréal métropolitain et, bien entendu, à la Confédération des syndicats nationaux.

STT des centres d’hébergement du Grand Montréal (CSN) – section RPA Villa Ste-Rose

Le 11 décembre, le Syndicat des travailleuses et travailleurs des centres d’hébergement du Grand Montréal (CSN) a été accrédité à la Villa Ste-Rose pour représenter :

« Toutes et tous les salarié-es au sens du Code du travail à l’exclusion du personnel administratif et de loisirs »

Ces travailleuses et travailleurs ont choisi de se doter d’un syndicat pour améliorer leurs conditions de travail, pour recevoir une rémunération pour leurs heures supplémentaires, pour freiner les congédiements et les démissions qui sont devenus monnaie courante.

Ce nouveau syndicat sera affilié à la Fédération de la santé et des services sociaux, au Conseil central du Montréal métropolitain et, bien entendu, à la Confédération des syndicats nationaux.

SEE de la Société des casinos du Québec–CSN

Le 27 novembre, le Syndicat des employées et employés de la Société des casinos du Québec–CSN a été accrédité pour représenter :

« Tous les salarié-es au sens du Code du travail du Centre de relation clientèle, affectés aux jeux en ligne, à l’exclusion de la chargée de projet affaires et de la coordonnatrice marketing et événementiel. »

pour son établissement situé au 500, rue Sherbrooke Ouest, Montréal.

Ces salarié-es ont pour tâche d’assurer le suivi auprès de la clientèle des jeux en ligne de Loto-Québec, tout particulièrement la nuit. Ils veillent à ce que les utilisateurs des jeux en ligne accèdent aux jeux sans difficulté et répondent à toutes les questions ou difficultés exprimées par les joueurs.

Le Syndicat des employées et employés de la Société des casinos du Québec–CSN est affilié à la Fédération des employées et employés de services publics, au Conseil central du Montréal métropolitain et, bien entendu, à la Confédération des syndicat nationaux.

Syndicat des professionnèles du centre Le Transit–CSN

Le Syndicat des professionnèles du centre Le Transit–CSN a été accrédité, le 26 novembre 2018, pour représenter :

« Toutes et tous les salarié-es au sens du Code du travail »

Les salarié-es de ce centre de crise, faisant face à des changements d’orientations et de direction, ont choisi majoritairement de joindre les rangs de la CSN afin d’accroître leur rapport de force dans ce contexte d’incertitudes.

Ce nouveau syndicat sera affilié à la Fédération des professionnèles, au Conseil central du Montréal métropolitain et bien entendu, à la Confédération des syndicats nationaux.