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DateTitreDescription
14 décembre 2017Mise à jour économique et financière du gouvernement du Québec
14 décembre 2017Présentation sur le Projet de loi 149
11 décembre 2017Mémoire sur la révision du modèle d’allocation des ressources aux cégeps
D’entrée de jeu, il nous est impossible de parler de répartition des ressources sans mentionner au passage les effets négatifs des compressions budgétaires des dernières années sur le réseau collégial, qu’il s’agisse de la réduction des services aux étudiantes et aux étudiants ou de l’augmentation de la précarité du personnel. Ces compressions et la forme des récents investissements ont également mis en exergue les faiblesses de la formule actuelle d’allocation des ressources.
5 décembre 2017Mémoire présenté dans le cadre du Forum sur la valorisation de la diversité et la lutte contre la discrimination 30 novembre
L’emploi, tout comme la langue, est un puissant vecteur d’inclusion et d’intégration à une société d’accueil. Or, les personnes immigrantes et les personnes racisées font encore trop souvent face à des obstacles discriminatoires, de nature systémique, qui compromettent leur accès, leur maintien et leur progression en emploi. Que les pratiques discriminatoires soient volontaires ou non, la première étape consiste à reconnaître l’existence du phénomène pour être en mesure de le combattre et d’y apporter les correctifs nécessaires. En ce sens, la CSN demande au gouvernement du Québec, de s’employer à permettre une réelle francisation des personnes immigrantes, de faciliter la reconnaissance de leurs compétences. La CSN demande également au gouvernement de faire de la sensibilisation et d’offrir de la formation destinée aux employeurs et gestionnaires, tout en leur offrant de l’accompagnement, afin d’enrayer les procédures et pratiques de ressources humaines non adaptées à la diversité et conséquemment, discriminatoires.
25 octobre 2017Mémoire sur le projet de loi 143

Avec le projet de loi no 143, Loi visant à améliorer la qualité éducative et à favoriser le développement harmonieux des services de garde éducatifs à l’enfance, le gouvernement semble avoir entendu certaines de nos revendications et a entrepris des pas dans la bonne direction, particulièrement en ce qui concerne la garde en milieu familial et une meilleure planification de l’offre de services.

En effet, dès 2010, dans Des services de garde éducatifs de qualité : un droit pour chaque enfant, la CSN demandait au gouvernement de développer une vision nationale et une coordination interministérielle pour le développement, la consolidation et le financement des services de garde éducatifs.

Cependant, nous sommes d’avis que les conditions préalables et les moyens nécessaires à la mise en œuvre de certaines des propositions contenues dans le projet de loi ne sont pas au rendez-vous. C’est le cas, par exemple, pour l’introduction d’une nouvelle exigence éducative et d’une démarche d’évaluation pour l’amélioration de la qualité. Outre le caractère prématuré de ces propositions, celles-ci devraient faire l’objet d’un plan d’action examiné par toutes les parties prenantes, ce que ne garantit pas le projet de loi. Le projet de loi vise aussi le développement harmonieux des services de garde sur chacun des territoires, notamment en renforçant la collecte d’information à l’aide du guichet unique et en systématisant l’analyse régionale des besoins à travers le comité consultatif du territoire concerné. La composition et le fonctionnement du comité devraient toutefois être revus, selon nous.

Nous accueillons favorablement les exigences proposées par le projet de loi qui limiteront le nombre de places que peuvent offrir des individus non reconnus par le réseau et l’émission de nouveaux permis de garderies privées. Nous croyons que, loin de restreindre l’offre de services, ces exigences contribueront au développement d’un réseau de qualité et, nous l’espérons, de plus de places de qualité en CPE et chez les RSG.

Enfin, nous soumettons des recommandations afin que le projet de loi contribue à l’amélioration, au développement et à l’accès à des services de garde véritablement éducatifs, personnalisés et de qualité, auxquels a droit tout enfant québécois tel que le stipule l’article 4 de la Loi sur les services de garde éducatifs à l’enfance.

19 octobre 2017Déclaration des travailleuses des CPE

Rappelons quelques-unes de ces priorités:

  • la protection de la qualité éducative et le soutien aux enfants ayant des besoins particuliers e ectués par des éducatrices et par des éducatrices spécialisées;
  • des ratios enfants/éducatrice qui permettent de répondre aux besoins et au mieux-être des tout-petits, au-delà de toutes autres considérations;
  • le maintien des heures de planification des activités pédagogiques;
  • l’appellation de l’aide-éducatrice qui affaiblirait le rôle des éducatrices, en a ectant le développement des enfants;
  • la participation des travailleuses au conseil d’administration et à l’assemblée générale du CPE.
6 octobre 2017Mémoire sur le plan d’action 2018-2023 du Secrétariat aux aînés
La situation du soutien à domicile au Québec est préoccupante. Alors que les besoins de la population augmentent, l’accès aux services diminue. Le gouvernement doit faire du soutien à domicile, une réelle priorité. Pour se faire, il doit rehausser le financement et renverser la lourde tendance à la privatisation. La qualité des soins et services et des emplois en dépendent. Le gouvernement doit aussi faire preuve de plus de transparence et définir clairement l’offre publique de services en matière de soutien à domicile, en tenant compte notamment, des besoins des proches aidantes. Les personnes aînées ne sont pas les seules à nécessiter du soutien à domicile, pensons aux personnes vivant avec un trouble du spectre de l’autisme, une déficience intellectuelle ou physique. Le gouvernement doit aussi s’engager à répondre à leurs besoins.
28 avril 2017Mémoire sur l’organisation des soins et services aux personnes aînées et à leurs proches
Pour la CSN, la continuité et l’intégration des services publics de longue durée à domicile, en institution et en résidence, demeurent la voie la plus sûre pour offrir des services de qualité à toutes les personnes aînées. Le gouvernement doit investir dans le soutien à domicile et l’hébergement public, plutôt que de sous-traiter les soins et services au secteur privé. C’est toute la société québécoise qui en bénéficierait, particulièrement les femmes, qu’elles soient des aînées, des proches aidantes ou des travailleuses du réseau de santé et de services sociaux.
17 mars 2017Consultations prébudgétaires 2017-2018, Gouvernement provincial
17 mars 2017Bilan et perspectives – Rendez-vous national sur la main-d’œuvre