STT de Distribution Multi-Marques-Laval
Lock-out (reglé)
Conflit en bref
- Type de conflit : Lock-out (reglé)
- Employeur : Distribution Multi-Marques
- Ville : Laval
- Date de début : 1 avril 2017
- Lock-out déclaré par l'employeur le 1er avril 2017
- Date de fin : 27 avril 2017
- Entente de principe entérinée le 27 avril 2017.
La convention collective de cinq ans des 119 salarié-es est échue depuis le 22 septembre 2016. Depuis octobre dernier, il y a eu 23 séances de négociation, dont quatre journées intensives durant la semaine du 27 avril 2017. Le 31 mars, malgré que plusieurs éléments faisaient toujours l’objet de discussions, la partie syndicale a été avisée en milieu d’après-midi qu’à défaut d’une entente globale à 23 h 59 minutes, Multi-Marques procéderait à une mise en lock-out dès minuit, le 1er avril. Depuis, les travailleuses et travailleurs, ainsi que leur famille, ont été mis à la rue sans aucune considération.
Au cœur des demandes syndicales figurent entre autres la flexibilité et les horaires de travail, la sécurité d’emploi pour la trentaine de salarié-es à temps partiel, le régime de retraite, l’assurance collective ainsi que les salaires.
Les salarié-es de Multi-Marques adoptent l’entente de principe
Parmi les gains obtenus par le syndicat, notons diverses améliorations pour les travailleurs temporaires, la création de postes réguliers, de meilleures dispositions concernant l’affichage et l’accès aux postes ainsi que des bonifications aux assurances collectives et au régime de retraite.27 avril 2017
Le géant de la boulangerie contourne la loi anti-briseurs de grève du Québec
Hier soir, devant le TAT, l'employeur a reconnu avoir eu recours à une dizaine de briseurs de grève.25 avril 2017
Ambitionner sur le pain bénit
La convention collective d’une durée de cinq ans des salarié-es qui œuvrent jour et nuit, sept jours sur sept, est échue depuis le 22 septembre 2016.24 avril 2017
Manifestation des 120 lock-outés devant l’usine de Laval
Ce geste de Multi-Marques totalement injustifié témoigne d’un profond mépris et d’un manque de respect à l’égard des salarié-es du centre de distribution Multi-Marques.3 avril 2017
La CSN dénonce le lock-out sauvage
Nous appelons l’entreprise à vite revenir à la raison en mettant fin au lock-out et en reprenant immédiatement les pourparlers.1 avril 2017
Multi-Marques de Canada Bread doit des millions de dollars à ses employés
Plusieurs dizaines des membres du Syndicat des travailleurs et des travailleuses de Distribution Multi-Marques ont occupé en matinée les bureaux de Canada Bread à Toronto.22 mars 2017
Canada Bread's Multi-Marques owes millions to its employees
Several Multi-Marques Workers’ Union occupied the Canada Bread offices in Toronto this morning.22 mars 2017
Multi-Marques : retour au travail
Entre autres gains du syndicat, six nouveaux postes permanents seront créés.9 septembre 2003
Une ordonnance oblige Multi-Marques à cesser de faire appel à des briseurs de grève
Dans sa décision émise le 22 juillet, la commissaire Andrée St-Georges a en effet ordonner à Multi-Marques de cesser d'utiliser à Laval les services de salariés ou de cadres travaillant dans un autre de ces établissements.26 juillet 2003
Tournée d'hommes-sandwiches du syndicat de Multi-Marques
En lock-out depuis le 19 mai dernier, des hommes-sandwiches membres du syndicat entreprennent en effet, à compter de demain, une tournée d'information sur les enjeux de négociation.7 juillet 2003
Les employé-es de Multi-Marques manifestent à Ville Saint-Laurent
Les pourparlers entre les parties patronale et syndicale achoppent principalement sur les demandes d'augmentations de salaire , la clause de protection des emplois contre le recours à la sous-traitance et le statut des employés temporaires.16 juin 2003
Lock-out au Centre de distribution Multi-Marques (Canada Bread)
Les travailleuses et les travailleurs en lock-out observent quotidiennement la rentrée au travail de personnes qui pourraient être des travailleurs de remplacement. La CSN fait actuellement une demande d'enquête auprès du ministère du Travail pour faire respecter les dispositions anti-briseurs de grève prévues au Code du travail du Québec.20 mai 2003