« C’est tabou d’en parler dans le milieu communautaire, mais il y a aussi la question de la perte de nos jobs. Entre les six carrefours d’éducation populaire, et les autres groupes hébergés dans nos édifices, on parle de plus de 500 personnes qui risquent de perdre leur emploi. On aimerait que le communautaire roule sur le bénévolat, comme dans les années 60, mais ce qu’on oublie c’est que les bénévoles se sont battus fort pour avoir des conditions de travail minimalement respectables. On est censé enfouir tout cet historique, ces victoires, ce combat ? »
– Marie-Andrée Painchaud, Carrefour d’éducation populaire de Pointe-Saint-Charles