« Dans le communautaire, on constate qu’il y a de plus en plus de demandes pour nos services d’aide en santé mentale. Les réformes de structures amènent ça. Ça se voit partout : il y a de plus en plus de dossiers d’aide juridique refusés, de moins en moins de logements sociaux construits malgré les longues listes d’attente et une pénurie d’intervenants en santé mentale.
Les compressions dans les services publics, c’est s’attaquer aux espoirs des gens. Et les personnes vivant avec des troubles de santé mentale ont besoin d’espoir, pas qu’on coupe dans les programmes qui devraient leur venir en aide. »
– François Winter, Directeur général, L’A-Droit (Chaudières-Appalaches)