Les organisations syndicales internationales ont soumis des amendements pour que les orientations adoptées par la Commission servent réellement les intérêts des travailleuses, particulièrement celles des zones rurales, les femmes autochtones et les plus démunies.
Les amendements mettent l’accent sur trois priorités:
- la notion du « travail décent » et l’application des normes du travail et des conventions internationales auprès des travailleuses du milieu rural;
- l’accès aux services publics, dont l’eau potable;
- l’accès à l’éducation pour toutes et tous, et ce, à tous les niveaux.
Ces modifications ont été acheminées aux représentantes et représentants officiels des pays participants de même qu’aux organismes internationaux dont le Bureau international du travail (BIT).
Au cours des prochains jours, les déléguées syndicales et des différents groupes de femmes vont intervenir auprès des délégations de leurs pays pour défendre ces positions.